Trans- communication instrumentale

Définition de la TCI

transcommunication

La transcommunication instrumentale est souvent considérée comme une passerelle de communication avec l’au-delà. Même si cela peut considérablement favoriser les choses, il n’est pas obligatoire de posséder un don médiumnique pour recourir à la transcommunication instrumentale et obtenir un certain succès. Les enregistrements effectués ont vocation à éviter toute interprétation hâtive et/ou erronée.

La TCI (transcommunication instrumentale) requiert un enregistreur numérique ou analogique. Cette technologie a pour but d’enregistrer des messages provenant du « royaume de l’invisible ».

Un médium constitue une valeur ajoutée, car son canal médiumnique favorise davantage la communication, et ce en fonction de sa sensibilité (audio, vision, toucher, olfactif, goût).

Cependant, dans les faits il n’est pas rare de constater que les personnes qui utilisent la TCI ne le font pas toujours en présence d’un médium. Cette technique de communication avec les défunts s’appuie sur des instruments qui deviennent des supports (voix et/ou images).

Quel matériel d’enregistrement est utilisé pour la transcommunication instrumentale ?

Un magnétophone (analogique) ou un enregistreur numérique est équipé d’une touche pouvant ralentir ou accélérer la lecture de l’enregistrement. Le micro se situe à l’extérieur afin de préserver la qualité sonore tout en évitant d’enregistrer les sons inhérents au fonctionnement de l’appareil.

La voix des morts – vibrations & voix

Les personnes désincarnées émettent des vibrations, car elles ne possèdent pas de larynx. Cela ne facilite pas les choses dès qu’il est question d’interpréter les sons recueillis. Cela étant, il est néanmoins possible dans la plupart des cas de faire la différence entre une intonation de voix féminine et masculine.

L’enregistrement

Généralement, les puristes de la TCI préconisent une fréquence de 2000 hertz, car elle semble plus adaptée. Un bruit de fond appelé également « bruit blanc » est indispensable dans la mesure où il fait office de support pour les entités. L’interprétation d’un enregistrement n’est pas chose aisée, cela nécessite bien souvent un tant soit peu d’expérience. Il est intéressant de confier l’analyse à un tiers expérimenté afin de comparer les résultats obtenus.

Mode opératoire & communication

Une séance de TCI se prépare à l’avance, il est important de rédiger les questions tout en gardant à l’esprit qu’il est nécessaire d’entamer un dialogue. Il est recommandé d’effectuer la séance dans un lieu tranquille. Bien qu’il soit possible d’entrer en contact avec l’au-delà à n’importe quel moment du jour et de la nuit, beaucoup de spécialistes privilégient le soir et d’ailleurs souvent dans le même créneau horaire. Aucune provocation ne doit être entreprise, la bienveillance est de rigueur, sous peine d’attirer des entités malveillantes, voire de leur ouvrir un portail…

Un tant soit peu de recueillement avant une séance permet de se recentrer. Certaines personnes prient et demandent protection. Le but étant d’atteindre un état émotionnel et vibratoire propice à la communication. D’aucuns optent pour la création d’un Egregor entre les deux mondes. Une séance de TCI ne doit en général pas excéder une dizaine de minutes.

Il est possible d’adjoindre un ordinateur ou un téléphone mobile pour compléter l’enregistrement et l’analyse.

La TCI à travers l’histoire

La trancommunication instrumentale ne serait certainement pas ce qu’elle est sans l’intervention de quelques illustres inventeurs.

Thomas Edison avait envisagé de concevoir une machine pour dialoguer avec les défunts. Scientifique dans l’âme, il ambitionnait de mettre au point un appareil suffisamment sensible pour capter les esprits, et ce dans l’hypothèse de leur existence.
Thomas Edison n’obtint aucun résultat probant…

Friedrich Jürgenson est bien connu de toutes celles et de tous ceux qui pratiquent la transcommunication instrumentale, car il en fut un des précurseurs. Tout commença par l’écoute d’une bande audio qui résultait de l’enregistrement de chants d’oiseaux à l’aide d’un magnétophone. Après plusieurs écoutes, il crut distinguer une voix très faible évoquant les oiseaux de nuit. Très surpris par sa découverte, il réalisa d’autres enregistrements et entendu plusieurs voix, dont celle de sa mère. Ses découvertes furent publiées dans l’ouvrage « Voix de l’Espace » en 1964.