Maison Normandie

Histoire de la maison hantée de Normandie

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Les phénomènes paranormaux relatés ci-dessous se sont produits vers la fin du XIXe siècle dans un château du Calvados.

Témoignages

Au cours de l’année 1867, un couple qui hérite du château décide de s’y établir. Dès l’automne, les premiers phénomènes paranormaux se manifestent. Les témoins de ces évènements inexpliqués sont principalement les habitants du château.

Témoins principaux :

Le couple de châtelains.
Leur fils.
Un abbé qui est le précepteur de l’enfant.
Quatre employés de maison.

Témoins secondaires :

De la famille.
Des amis.
Différents ecclésiastiques.
Un officier.

Des évènements troublants…

La totalité des pièces du château est le théâtre de manifestations sonores les plus diverses. Toutes les nuits, des bruits de pas se font entendre, mais pas seulement…

En effet, les habitants du château sont confrontés à des bruits de coups violents, et ce aussi bien dans les portes que dans les murs. D’ailleurs toutes sortes d’objets suspendus cognent contre les murs. Pire encore, des bruits de cavalcades dans les couloirs du château suivis de chutes d’objets ainsi que des cris et des pleurs

Toutes les rondes nocturnes effectuées se soldent par une absence de résultats.

Une nuit, les habitants du château sont réveillés en sursaut par un bruit énorme, comme s’il s’agissait d’une boule dévalant les escaliers.

À la faveur d’une autre nuit (à minuit), les propriétaires entendent des bruits de pas qui semblent provenir de l’escalier principal, des cris provenant de la cave, puis de la chambre verte…

D’inquiétants sanglots suivis de gémissements féminins et de cris de colère suraigus ainsi que de la musique sont entendus par les hôtes du château.

Les témoins demeurent pétrifiés en assistant à une kyrielle de phénomènes paranormaux majeurs :
Des objets qui semblent se déplacer par eux-mêmes (sous leurs yeux).
Des meubles lourds et volumineux se mettent à se mouvoir.

Un jour vers 18h, les maîtres des lieux découvrent dans la chambre verte – qui était toujours verrouillée – que le lit est renversé sur un côté avec la table appuyée tout contre.

Même la chambre de l’abbé est affectée

La chambre du prélat n’est pas épargnée par ces inquiétantes manifestations puisque ce dernier retrouve le fauteuil sur le pupitre de son élève (le fils des châtelains), le canapé à la renverse, le réveil posé sur le globe de la pendule et une chaise posée sur la table. Vers 21 heures, des bruits de balais proviennent du corridor au deuxième étage.

Les évènements étranges se multiplient, l’abbé découvre que les coussins qui habituellement trônaient sur canapé sont sur le bord (extérieur) de la fenêtre des toilettes; alors que cette fenêtre est bloquée par une planche de bois qui avait pourtant été solidement cloutée ! La planche a été arrachée sans pour autant laisser une quelconque trace d’outil…

Une bonne centaine de livres s’amoncèlent sur le sol. Les trois ouvrages qui n’ont pas été renversés sont des Écritures saintes. La clé de la porte de la chambre du prélat se détache, puis tourne de plus en plus vite dans la serrure. Suite à cela, la main gauche du précepteur est frappée par quelque chose d’invisible.

L’apothéose…

Tandis que l’abbé consultait son bréviaire dans sa chambre et en dépit d’un temps magnifique depuis trois jours, un important volume d’eau se déverse par le conduit, puis atterrit dans l’âtre de la cheminée, projetant des cendres froides sur le visage du prélat.